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SENATOR SMITH: What hour was that? MR. FRANKLIN: That was in reply to the other message, immediately after we got it. It must have been about 2 o'clock - SENATOR SMITH: Capt. Haddock's message? MR. FRANKLIN: Yes. About 2 o'clock, I would say. SENATOR SMITH: Tell the committee upon what rumor you based that statement. MR. FRANKLIN: We based that statement on rumors that we were having from all sources. The press and telegrams from Montreal; but nothing we could put our hands on as being authentic at any time. SENATOR SMITH: Had you not received anything from the Carpathia at that time? MR. FRANKLIN: No, sir; we had not heard of the Carpathia up to that time at all — except this Haddock telegram. SENATOR SMITH: Let us see what you based that rumor on? MR. FRANKLIN: I do not know that. I could tell exactly on what I based that. I might by going through those telegrams. SENATOR SMITH: I wish you would go through them and tell us what you based that on. MR. FRANKLIN: We had it from all sources — from the newspapers particularly. SENATOR SMITH: And it was rumor merely? MR. FRANKLIN: Absolutely. We announced it to everybody that these were rumors, but we could not confirm them, and that we had nothing authentic but one message from Capt. Haddock. SENATOR SMITH: Did you confer with Mr. Marconi during the early morning of Monday, personally? MR. FRANKLIN: No, sir; I never conferred with Mr. Marconi. SENATOR SMITH: Do you know whether any messages went from the Marconi office or from the White Star office to the Carpathia enjoining secrecy until they were in communication with you? MR. FRANKLIN: We know absolutely nothing about such a communication; had nothing at all to do with it, if it was sent. SENATOR SMITH: Do you know whether such a communication was sent? |
LE SÉNATEUR SMITH : C’était à quelle heure? M. FRANKLIN : C’était en réponse à l’autre message, immédiatement après que nous l’ayons reçu. Il devait être environ 2 heures – LE SÉNATEUR SMITH : Le message du capitaine Haddock? M. FRANKLIN : Oui. Vers 2 heures, je dirais. LE SÉNATEUR SMITH : Dites au comité sur quelle rumeur vous avez fondé cette déclaration. M. FRANKLIN : Nous avons fondé cette déclaration sur des rumeurs provenant de toutes les sources. La presse et les télégrammes de Montréal; mais rien que nous puissions affirmer comme étant authentique à tout moment. LE SÉNATEUR SMITH : N’aviez-vous rien reçu du Carpathia à ce moment-là? M. FRANKLIN : Non, monsieur; nous n’avions pas entendu parler du Carpathia jusqu’à ce moment-là, sauf ce télégramme de Haddock. LE SÉNATEUR SMITH : Voyons sur quoi vous avez fondé cette rumeur? M. FRANKLIN : Je ne le sais pas. Je pourrais vous dire exactement sur quoi je me suis fondé. Peut-être en lisant ces télégrammes. LE SÉNATEUR SMITH : J’aimerais que vous les parcouriez et que vous nous disiez sur quoi vous vous fondez. M. FRANKLIN : Nous l’avons obtenu de toutes les sources — des journaux en particulier. LE SÉNATEUR SMITH : Et c’était simplement une rumeur? M. FRANKLIN : Absolument. Nous avons annoncé à tout le monde que c’étaient des rumeurs, mais nous ne pouvions pas les confirmer, et que nous n’avions rien d’authentique à part un message du Capt. Haddock. LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous consulté M. Marconi tôt le matin de lundi, personnellement? M. FRANKLIN : Non, monsieur; je n’ai jamais discuté avec M. Marconi. LE SÉNATEUR SMITH : Savez-vous si des messages ont été envoyés du bureau de Marconi ou du bureau de la White Star au Carpathia pour lui demander de garder le secret jusqu’à ce qu’ils soient en communication avec vous? M. FRANKLIN : Nous ne savons absolument rien d’une telle communication; nous n’avons rien à voir avec elle, si elle a été envoyée. LE SÉNATEUR SMITH : Savez-vous si une telle communication a été envoyée? |
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